Adrian Monk est un policier compétent et efficace, respecté de tous, jusqu'au jour où sa femme est tuée (une affaire non élucidée). Il sombre alors dans une psychose obsessionnelle qui lui fait perdre son travail et le respect de ses collègues. Il a aussi de nombreux TOC (Troubles Obsessionnels Compulsifs) qu'il a beaucoup de mal à gérer. Il décide cependant de continuer à enquêter en tant que détective privé. Il est assisté de Sharona, son assistante et infirmière qui l'aide notamment à gérer ses TOC.
On pourrait croire que cette série est seulement dramatique et pourtant, les nombreux TOC qu'a Monk sont comiques et font rentrer la série dans un registre tragi-comique. On notera l'excellente performance de l'acteur Tony Shalhoub, qui a d'ailleurs remporté un Golden Globe en 2003 pour son rôle. La première saison de la série avait été diffusée sur ABC, mais la chaine américaine avait décidé d'en stopper la production.
Seulement, la réseau américaine USA Network a reprit la série en main et a tourné une seconde saison. A voir sur TF1.

Adrian Monk est un policier compétent et efficace, respecté de tous, jusqu'au jour où sa femme est tuée (une affaire non élucidée). Il sombre alors dans une psychose obsessionnelle qui lui fait perdre son travail et le respect de ses collègues. Il a aussi de nombreux TOC (Troubles Obsessionnels Compulsifs) qu'il a beaucoup de mal à gérer. Il décide cependant de continuer à enquêter en tant que détective privé. Il est assisté de Sharona, son assistante et infirmière qui l'aide notamment à gérer ses TOC.
On pourrait croire que cette série est seulement dramatique et pourtant, les nombreux TOC qu'a Monk sont comiques et font rentrer la série dans un registre tragi-comique. On notera l'excellente performance de l'acteur Tony Shalhoub, qui a d'ailleurs remporté un Golden Globe en 2003 pour son rôle. La première saison de la série avait été diffusée sur ABC, mais la chaine américaine avait décidé d'en stopper la production.
Seulement, la réseau américaine USA Network a reprit la série en main et a tourné une seconde saison. A voir sur TF1.

La nouvelle patronne des services de l'immigration de la Norvège est d'origine martiniquaise. C'est le résultat du parcours étonnant de Manuela Ramin-Osmundsen. Installée depuis une quinzaine d'années seulement en Scandinavie, elle est considérée comme "très douée" par le ministre qui l'a nommée.

C'est vraiment un parcours hors du commun que fait Manuela Ramin-Osmundsen. A 42 ans, cette brillante juriste d'origine martiniquaise est devenue la semaine dernière la nouvelle présidente de la Direction Norvégienne de l'Immigration. Une nomination peu banale puisque Oslo n'a pas l'habitude de confier ces hautes fonctions administratives à un étranger. D'autant que Manuela Ramin-Osmundsen n'est installée en Norvège que depuis une quinzaine d'années et pour une bonne raison: elle a épousé un Norvégien ! Juriste de formation, avocate au barreau de Paris, elle parle aujourd'hui couramment la langue difficile de son nouveau pays d'adoption et bien sûr l'anglais. Manuela Ramin-Osmundsen est née à Antony en région parisienne mais sa mère, Annie Ramin, l'ancienne directrice du CHU de Fort-de-France a toujours tenu à ce qu'elle reste en contact étroit avec ses racines martiniquaises.

Un millier de lycéens et d'étudiants ont manifesté jeudi à Pointe-à-Pitre contre le Contrat Première Embauche. En Martinique, c'est ce Lundi que les jeunes se sont mobilisés pour obtenir le retrait du CPE. Demain, la manifestation nationale sera relayée dans les deux îles.

"Complot pour nous éliminer", "Contrat pour nous exploiter": c'étaient quelques-uns des slogans scandés hier à Pointe-à-Pitre alors qu'un millier de lycéens et d'étudiants défilaient dans les rues de la ville pour obtenir le retrait du CPE. En Martinique, lycéens et étudiants ont pris le train en marche puisque jusqu'à présent ils n'avaient organisé aucune manifestation mais ce lundi, ils ont rejoint la fronde anti-CPE.  Demain, une nouvelle mobilisation contre le CPE est prévue en Martinique et en Guadeloupe avec l'appui des organisations syndicales alors qu'une journée d'action nationale est au programme.

Si l'on peux reprocher aux séries diffusées sur le cable américain d'être parfois gratuitement violentes ou sexy graçe à une liberté totale d'écriture, ce n'est pas le cas de "the shield", pourtant diffusée sur la petite FX. Son héros , Vic Mackey (Michael Chiklis) flic à la fameuse LAPD (Police federale de Los Angeles) a tout d'un Tony Soprano, mais sans ses profondes angoisses. Bon père de famille, il s'occupe du mieux qu'il peut de son enfant autiste, mais n'en rest pas moins un ripoux, leader de sa propre équipe, la "strike team" qui bénéficie d'une pièce à part au poste ( ils ont l'appui de l'assistant chef de la police de L.A) Profitant de chaque occasion pour arrondir ses fins de mois, il n'hésites pas dans le pilote à garder des sachets d'héroines lors d'une descente et, c'est avec unprofond égout que nous découvrirons à la fin de l'épisodes le vrai visage de MacKey. Il faudra toute la saison et un final boulversant pour enfin avoir un peu de compassion pour ce héros hors du commun.
Ecrite de main de maître par Shawn Ryan (scénariste d'ANGEL)et tournée de manière exceptionnelle (les séquences d'action trés rapide sont extrèmement réalistes) The Shield est en train doucement mais surement de bouleverser la télévision. Si la série repose sur un héros hors norme, les personnages secondaires sont également une trés grande réussitetant ils sont bien écritet composés.Ainsi Dutch n'est pas sans nous rappellerBayliss de la série Homicide ( il préfère la psychologie aux méthodes musclées de Vic). On pensait que l'on n'avait plus rien a attendre des scènes d'interrogatoire tant NYPD BLUE nous lesa décomposées maintes fois. Celle de The Shield amènent pourtant un renouveau inattendu au genre donnant au passage un sacré coup de vieux à ces prédécesseurs. On croyait avoir tout vu avec la révolutions qu'avait engendré Les Soprano ou Six Feet Under, mais The Shield est en train de faire mieux...

La fin de l'ère CDD arrive entraînant avec elle chaos, mésententes, démagogie en tout genre, les mots me manquent pour dire à quelle vitesse on fonce dans le mur!!! Mais attention,point de politique ici l'heure est à l'optimisme, enfin pas trop puisque je viens d'apprendre que je ne suis qu' un minable délinquant dont le seul crime est de télécharger l'album de mon chanteur préféré qui au demeurant ne vaut même pas le prix d'un téléchargement légal! 

Après le douloureux et néanmoins constructif épisode précédent, j'aperçois une lumière. Je frappe à la porte, c'est ouvert, je rentre sans bruit: IUT me voici !!! Pour marquer le coup je me coupe les cheveux pour la dernière fois et je prend de bonnes résolutions: cette année c'est du sérieux! La transition est difficile, la colocation aussi. En effet, habiter dans une grande maison avec des potes c'est "super cool" mais pas top pour ce qui est de l'assiduité et du cycle de sommeil. Résultat:un premier semestre pour le moins mitigé où je finis avant-dernier du classement avec 7.60 de moyenne qui me vaut un appel menaçant de compère Sarko (cf. épisode 1) qui me rappelle à l'ordre avec insistance. Ca y est, cette fois-ci c'est la bonne,enfin j'espère... La peur de revenir bredouille au domicile familial situé à 8000 km d'ici a finalement eu raison de ma démotivation et je finis miraculeusement l'année avec un 10.40 de moyenne annuelle; OUF!      Et me voici en train de remplir un blog dont je ne saisis pas trop l'utilité mais qui me demande des heures sup' étant donné que je ne dispose pas de l'outil internet malheureusement, mais bon ça c'est une autre histoire...

En espérant que vous avez bien compris que je parle au second degré, voici la suite de mon arrivée dans la grande métropole. Nous sommes le 15 juillet 2002, partagé entre l'extreme satisfaction que procure l'obtention du sacro-saint baccalauréat et l'immense tristesse de quitter sa famille, ses amis, sa maison... Tout ça pour une chambre étudiante pourrie aux dimensions carcérales (9 m²!!!) et nous voilà partie en quête d'un DEUG Arts Communication Langages à l'avenir un peu flou... Passons les deux premières années de galère composées de mal du pays avec une petite touche de flemmardise, le tout accompagné d'un désintérêt total pour tout ce qui touche de près ou de loin l' Education Nationale.Après avoir alimenté les statistiques qui montrent que la majorité des étudiants de fac échoue dès la première année....... (suspens!!!)

1,85m;85 kilos: pas mal!!!
Bon,plus sérieusement je fais parti du programme d'immigration choisie d'un certain Nicolas S. qui pour le coup s'est pas trop foulé puisqu'il recrute à 8000 km d'ici mais toujours en france... Ce qui a déterminé son choix c'est mon cursus exceptionnel composé de de 3 années en maternelle couronné de succès (456 bon points sur 500 possibles), 5 ans de primaire exceptionnelles,puis un parcours brillant au collège qui m'a permis de décrocher un brevet des collèges avec mention "trop bien" et pour couronner le tout j'ai obtenu mon bac littéraire avec une mention passablement extra ordinnaire! Puis arrive juillet 2002, le jour de mon départ pour la France où je comprends tout de suite que ma mission sera de prouver a la france entière que nous, aborigènes martiniquais, sommes finalement des gens très bien grace a notre mère patrie! Ce projet a d'ailleurs été révélé au monde entier lors d'un projet de loi invoquant le fait que la colonisation a eu de toute évidence des effets positifs..........

La suite au prochain épisode

j'ai trouvé un stage chez c'direct,grosse agence de pub en martinique et je suis trop content! au fait hatem t'as rempli le papier jaune???